+ DIS-MOI CE QUE TU LIS ET JE TE DIRAI QUI TU ES

Messages : 71 Date d'inscription : 15/02/2015

Donne un numéro de page, ouvre un livre et choisis un extrait de cette page indiquée (pense à donner le titre du livre).

PAGE 47

- c'est vrai que tu as de ton grand-père. Les yeux surtout, et ce front large, et...
- apporte nous du café, ma chérie, l'interrompit mourad. Ou une boisson fraîche.
S'adressant à Avram, il s'enquit :
- que préfère-tu ?
- je te remercie, un jus sera parfait.
- Deux jus d'oranges albi (mon coeur) s'il-te-plait.

inch'allah, le cri des pierres de gilbert sinoué :maggle:

PAGE 32

"Le courtier exposa le billet de banque au soleil et le mira avec une jubilation malsaine. Il le porta ensuite à son front puis à sa bouche et glapit :
- L'argent n'a peut-être pas d'odeur, mais Dieu ! c'qu'il sent bon."

Ce que le jour doit à la nuit, Yasmina Khadra

Page 101

Messages : 33 Date d'inscription : 12/09/2015

Pendant des années j'ai cru que cette femme était en dehors de ma vie, pas très loin peut-être mais en dehors. Qu'elle n'existait plus, qu'elle vivait très loin, qu'elle n'avait jamais été aussi belle que ça, qu'elle appartenait au monde du passé. Le monde de quand j'étais jeune et romantique, quand je croyais que l'amour durait toujours et que rien n'était plus grand que mon amour pour elle. Toutes ces bêtises.

Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part, Anna Gavalda.

Page 78

"- Alors, voilà le fameux Fred, s'exclama-t-elle. Elle lui tendit la main. Enchantée, Gabrielle d'Estrées.
- Gabrielle d'Estrées comme... Gabrielle d'Estrées ?
- Enfin quelqu'un de cultivé !"

Les Morues, Titiou Lecoq

PAGE 22

Messages : 33 Date d'inscription : 12/09/2015

Tu es fatiguée et restes silencieuse. D'un mouvement du buste, la petite s'écarte, effleure tes lèvres du bout des doigts, et te fixant dans les yeux, te demande pourquoi tu es toujours triste.

Lambeaux, Charles Juliet.

Page 25

"16h07 : on est tous avachis dans un couloir de Bercy [...]
17h30 : on recroise Kool Shen qui sort tranquillement de la cantine. J'ai encore envie de lui sauter au cou, mais, comme tout le monde, je fais semblant que je m'en branle.
17h33 : un remous dans le couloir, brusque agitation. Le vigile (3 mètres sur 2) nous saute dessus et nous plaque violemment contre le mur pour laisser passer JoeyStarr. C'est sûr que, avec nos physique d'adulescents souffrant de malnutrition, on risquait au minimum de lui casser un ongle.
17h34 : Joey est passé.
18 heures : on entre dans la salle pour écouter les balances.
18h01 : one se fait jeter.
18h06 : on se faufile par une autre porte. Moment magique, Bercy vide, immense, les balances de NTM, ils n'ont pas l'air au point, ils sont stressés. Ils mettent du Nirvana.
18h07 : en pleine extase, je m'urine dessus."

Sans télé, on ressent davantage le froid, Titiou Lecoq.

Page 148