De grandes chutes d'eau qui tombent dans un fracas retentissant et se répercutent contre les parois de la falaise. A certains endroits, les jeunes ont pris l'habitude de sauter, pour sentir le vide sous leurs pieds, et la vie remplir à nouveau leur poumon alors qu'ils frappent l'eau. Mais à d'autres endroits, la roche est glissante, effilée et la chute mortelle.
Une assez grande forêt qui se perd dans les collines. De loin, elle parait sombre et douteuse, mais sous le couvert des arbres la brise fraiche vient caresser les visages et le calme du silence repose. Attention cependant à ne pas se perdre parmi les kilomètres d'arbres et de sentiers perdus, des légendes racontent que de drôles de bêtes vivent au fin fond de la forêt et sortent à la nuit tombée.
L'eau qui clapote, les bateaux qui tanguent. Quelques pêcheurs qui sont là depuis années, la nature qui reprend peu à peu ses droits. Un vieux ponton délabré s'avance sur l'eau, les barques menacent de couler. L'endroit est un peu délaissé, calme et idéal pour être seul face à ses pensées.
La ville la plus proche. A quelques kilomètres du campement, elle abrite quelques magasins où certain viennent faire le plein du nécessaire avant de repartir vers le camp. La ville n'est pas très grande, juste assez pour un peu de civilisation, le seul coin avec du réseau à des kilomètres à la ronde.